Avec l'élection de Brahim Ghali, nouveau chef des séparatistes du polisario, plusieurs crimes qu'il a commis alors qu'il occupait des responsabilités dans les camps de Tindouf, dans le sud-ouest de l'Algérie, ont refait surface.C'est ce qu'a indiqué, lundi, la revue mexicaine La voz del Arabe qui précise que le nom de Brahim Ghali figure sur une liste qui comprend d'autres responsables du polisario et de l'armée algérienne, accusés de génocide, assassinat, détention illégale, torture et disparitions forcées. La même source de rappeler que, depuis 2013, de nombreuses victimes de Brahim Ghali ont déposé des plaintes auprès des tribunaux espagnols, à travers lesquelles elles réclament sa comparution devant la justice.■