C’est ce qui ressort du rapport du Conseil économique, social et environnemental sur "L'open data", présenté hier.
Cette politique repose sur deux étapes : une première de "mise en mouvement", au cours de laquelle doivent être définis et mis en œuvre les dispositifs juridique, institutionnel et opérationnel de la libération des données publiques. La deuxième étape concerne le développement d'un écosystème équilibré autour de l'open data, favorisant la création de valeur ajoutée et assurant la pérennité du système. L'action publique pourrait notamment se structurer autour de la promotion et le développement d'applications de services, ayant pour objet de faciliter la vie des citoyens, ainsi que de l'utilisation des données publiques au sein des universités et des organismes de recherche, à partir des données libérées par les organismes publics. A noter que le droit d'accès à l'information publique figure parmi les multiples avancées de la Constitution de juillet 2011.