Le patron du Fisc marocain est inflexible quant à la mission de la Direction générale des impôts.Dans un entretien à paraître jeudi sur Finances News, il précise qu'"il ne faut pas perdre de vue que la mission de contrôle est l’ADN de l’Administration fiscale. Contrairement à ce que beaucoup de personnes pensent, la DGI ne se livre pas à cet exercice dans l’optique de générer uniquement des recettes, car le contrôle permet également de s’assurer de la conformité des déclarations aux règles en vigueur". "Les modalités de contrôle de l’administration ont connu un réel saut qualitatif, car le contrôle intrusif est de moins en moins usité", souligne Farraj, tout en faisant remarquer que "le nombre d’entreprises contrôlées est passé de près de 1.200 au maximum au cours des années précédentes à près de 3.000 en 2016".■