Les chouanneries meurtrières qui secouent certains pays en Afrique subsaharienne sont suivies de près par les opérateurs marocains, surtout ceux qui y ont investi, en ce qu’elles sont susceptibles d’impacter négativement leurs activités.
En cela, les troubles politiques nés en Centrafrique depuis quelques mois ont eu des effets néfastes sur l’activité économique. Ainsi, l’instabilité politique dans ce pays a impacté la Banque Populaire Maroco-Centrafricaine, filiale du Groupe Banque Populaire, à hauteur de 100 MDH. Montant qui, bien évidemment, a été provisionné.