Toute substitution aux institutions de l'Etat en matière d'incrimination et de pénalisation sera traitée avec la fermeté et la rigueur nécessaires.Ce sont les propos tenus, mardi au Parlement, par le ministre de la Justice et des Libertés, Mustapha Ramid, en faisant allusion aux actes d'agression dont été victimes récemment des citoyens et des citoyennes.
Personne n'a le droit de se substituer à l'Etat ou à ses institutions en matière d'incrimination et de pénalisation, martèle-t-il, précisant que l'Etat ne fera preuve d'aucune tolérance envers ces personnes qui ont été appréhendées et traduites devant la justice dans les cas concernant ces incidents et abus.