La Confédération générale des entreprises du Maroc a pris connaissance de la publication, le 16 janvier 2019 dans la presse, d’un article intitulé «La CGEM secouée par une plainte déposée par l’une de ses employées».
Dans une mise au point, la CGEM a tenu à préciser que :
"La salariée concernée, qui a rejoint la CGEM en 2006, n’a pas fait l’objet, à ce jour, d’une procédure de licenciement ou d’une mesure de «rétrogradation». Elle fait donc encore partie des salariés de la CGEM. A ce titre, elle continue à percevoir la rémunération fixée par son contrat de travail.
Elle s’est vue confier des missions en rapport avec ses compétences conformément aux clauses de son contrat de travail qui stipule que «la salariée accepte les missions qui lui sont dévolues par l’employeur dans le cadre de l’exécution du présent contrat et s’engage à accepter toutes autres fonctions que l’employeur pourrait lui confier dans le cadre de son activité et correspondant à ses compétences et à son profil».
La CGEM fait, dans le cadre de sa relation avec ses salariés, une stricte application des principes et règles fixés par le Dahir 1-03-194 du 11 septembre 2003 portant promulgation de la loi 65-99 formant Code du travail ainsi que des clauses de leurs contrats de travail respectifs. Conflit avec une salariée : Les vérités de la CGEM
La Confédération générale des entreprises du Maroc a pris connaissance de la publication, le 16 janvier 2019 dans la presse, d’un article intitulé «La CGEM secouée par une plainte déposée par l’une de ses employées".■