La Caisse de Dépôt et de Gestion a organisé du 12 au 15 septembre un séminaire pour la présentation et la promotion de son modèle économique à des acteurs économiques et financiers du continent africain. Cette initiative est la première du genre et vise à mettre en valeur le modèle économique particulier de «Caisse de Dépôt» comme étant un outil de collecte, de gestion, et de transformation de l’épargne pour le développement du Royaume.
Cet événement intitulé «Programme international CDG pour l’Afrique» était une occasion de partage d’idées et de débats autour des missions du Groupe, de ses ambitions et de son rôle dans le développement économique et social. «Le séminaire s’est proposé également de créer un cadre de dialogue, de concertations et d’échanges entre les principaux acteurs économiques et financiers du continent africain et ainsi de promouvoir le modèle économique de la Caisse de dépôt et de gestion», souligne la CDG dans un communiqué.
Cette première édition du Programme international CDG pour l’Afrique a ciblé les hauts responsables des ministères des Finances, des ministères des Affaires sociales, de la Sécurité sociale et du Travail et les Directeurs généraux des Caisses de retraite de 12 pays sur les 15 membres de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest – CEDEAO – (Ghana, Guinée-Conakry, Guinée-Bissau, Bénin, Niger, Sénégal, Burkina-Faso, Côte d’Ivoire, Mali, Sierra Leone, Gambie, Libéria). Les échanges ont permis de mettre en avant l'expertise et les expériences réussies par le Groupe CDG sur toute la palette de ses métiers et de les mettre à disposition de ses partenaires, dans le cadre d'un partage d'expériences mutuellement profitable.
«Des pistes de partenariats ont d'ailleurs d'ores et déjà été identifiées avec plusieurs pays membres de la CEDEAO, confirmant ainsi la volonté du Groupe CDG de programmer en 2018 une 2ème édition de ce séminaire, visant à poursuivre la promotion du modèle de «Caisse de Dépôt» avec encore plus de thématiques à discuter et à partager avec ses partenaires des pays africains», souligne-t-on.■