La Fondation MAScIR a organisé récemment une visite de ses laboratoires de recherche au profit d’une délégation de diplomates de haut rang composée, entre autres de Sylvia Lopez-Ekra, coordinatrice résidente des Nations unies au Maroc ainsi que de Leila Farah Mokaddem, représentante de la Banque africaine de développement (BAD) au Maroc, et Anna Barone de la Banque européenne d’investissement (BEI).
«Cette visite fait suite à la présentation des activités de la Fondation MAScIR, qui a eu lieu au cours de la réunion du Groupe des partenaires pays en date du 7 octobre 2020 et à laquelle le management de la Fondation a été invité, sur proposition de Leila Farah Mokaddem, représentante de la BAD à Rabat», souligne le communiqué de la Fondation.
Après avoir pris connaissance des travaux de recherche menés par la Fondation et échangé avec les chercheurs, les membres de la délégation ont exprimé leur volonté d’initier avec MAScIR un dialogue plus élargi et de bâtir un partenariat institutionnel et multiforme permettant de valoriser l’expertise de la Fondation dans le soutien aux secteurs privés et productifs du continent africain.
L’appui potentiel que pourraient apporter les institutions représentées dans cette délégation tant sur le volet du financement que celui d’un accompagnement visant à renforcer la visibilité de la Fondation MAScIR sur le plan régional, notamment dans les domaines de la santé et de l’agriculture, a aussi été au cœur des échanges.
«La délégation s’est particulièrement intéressée à la start-up Moldiag, issue des travaux de recherche de MAScIR, et spécialisée dans la mise au point et la production de kits de diagnostics moléculaires, dont le kit de diagnostic du Covid-19 », fait savoir la même source. Notons que Maryam Bigdeli, représentante de l’OMS, a recommandé de préqualifier les kits MAScIR auprès de l’OMS. Pour rappel, MAScIR est un centre de recherche relevant de l’Université Mohammed VI Polytechnique.
