Les facteurs autonomes de liquidité ont exercé un effet restrictif de l’ordre de 1,4 milliard de dirhams sur les trésoreries bancaires, en liaison notamment avec la baisse des réserves nettes de change de Bank Al-Maghrib et, dans une moindre mesure, avec l’accroissement du compte du Trésor auprès de la Banque.
Compte tenu de cette évolution et de la diminution de 7 milliards du montant minimum de la réserve monétaire, suite à la décision de la Banque centrale d’abaisser le ratio y afférent de 4% à 2%, le besoin en liquidités des banques s’est allégé par rapport au mois précédent de 5,6 milliards de dirhams, indique-t-on dans la dernière revue mensuelle de la conjoncutre publiée par BAM.