Plusieurs sources ont, depuis le début du mois d'avril, fait effectivement part de ce que l’investisseur britannique avait décidé de sauver la transaction débutée il y a un peu plus d’un an avec Veolia Environnement, avec pour but d’acquérir ses filiales Redal à Rabat et Amendis à Tanger, pour un montant global de 370 millions d’euros, précise la même source. La transaction aurait reçu l’aval des autorités centrales marocaines, mais devrait aussi obtenir l’approbation des communes bénéficiaires du service.