Le besoin des banques s’est établi en janvier 2016 à 17,6 milliards de dirhams en moyenne de fins de semaines contre 16,5 milliards un mois auparavant.Cette évolution est liée essentiellement à l’effet restrictif engendré par la hausse du compte du Trésor et, dans une moindre mesure, par l’augmentation de la circulation fiduciaire. Dans ces conditions, Bank Al-Maghrib a injecté un montant moyen de 18,3 milliards, sous forme principalement d’avances à 7 jours pour un montant de 7,5 milliards et de prêts accordés dans le cadre du programme de soutien au financement de la TPME pour 10,1 milliards.