Le premier constructeur automobile indien envisagerait de fabriquer au Maroc un utilitaire low cost de type pick-up, selon Jeune Afrique.
Surtout, le Royaume pourrait aussi servir au groupe de plateforme pour les marchés étrangers : Tata envisage ainsi des joint-ventures en Tunisie et au Kenya pour construire des usines d'assemblage de véhicules légers et utilitaires. Et d'ici à quatre ans, le groupe veut étendre sa présence dans 20 pays africains, contre 13 actuellement. Rappelons que Abdelkader Amara, ministre de l’Industrie, avait déjà laissé entendre que plusieurs constructeurs avaient manifesté leur intérêt pour le Maroc, dont notamment Nissan et Tata Motors.