Le gouvernement espagnol n’a pas bien mesuré l’ampleur des conséquences de sa décision d’accueillir le chef des séparatistes du polisario, le dénommé Brahim Ghali, poursuivi en Espagne pour des crimes de génocide, meurtre,
Les avocats des victimes des actes criminels commis par le dénommé Brahim Ghali ont déposé, jeudi, une plainte auprès de la justice espagnole pour l’activation du mandat d’arrêt européen émis à l’encontre de ce dernier.
Avec l'élection de Brahim Ghali, nouveau chef des séparatistes du polisario, plusieurs crimes qu'il a commis alors qu'il occupait des responsabilités dans les camps de Tindouf, dans le sud-ouest de l'Algérie, ont refait surface.C'est ce qu'a indiqué, lundi, la revue mexicaine La voz del Ara