"Bien que plusieurs prérequis soient favorables comme l'équilibre budgétaire et le niveau des réserves de change, les opérateurs économiques, notamment les TPME, ne sont pas prêts pour cette transition", a souligné M. Jouahri lors
"Même si le Fonds Monétaire International insiste, je ne recommanderai le passage à la nouvelle phase du régime de change flexible que lorsque je serai convaincu que le tissu économique marocain est prêt", a déclaré Jouahri lors d&rsquo
Le wali de Bank Al-Maghrib, Abdellatif Jouahri, devrait rencontrer, demain, le ministre de l’Economie et des Finances, Mohamed Benchaaboun, pour décider du moment opportun pour passer à la seconde phase de la flexibilité du Dirham, précisement l&rsquo
La première phase de la réforme du régime de change, entamée il y a quinze mois, a été réussie, à la faveur notamment du contexte favorable qui a marqué le démarrage de ce processus. Ce contexte a été caract
Le flottement de la devise devrait donner une impulsion au marché de l’immobilier marocain. C’est la conclusion à laquelle a abouti l’étude de JLL, spécialisé dans le conseil en immobilier d’entreprise. Selon l’étude, les di
La transition vers un système de change flexible du Dirham est une "très bonne décision" du gouvernement marocain. C’est ce qu’a indiqué mardi, à Marrakech, la Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Ch
La flexibilité du Dirham permettra d'améliorer la capacité de l'économie marocaine à absorber les chocs et de préserver sa compétitivité extérieure. C’est ce qu’a affirmé, vendredi à Washington, le Direc
Après moult tergiversations, le nouveau régime de change entrera en vigueur à partir de lundi prochain. La parité du Dirham est déterminée à l’intérieur d’une bande de fluctuation de ±2,5%, contre ±0,3% actuellement.
Le passage progressif à un système de change flexible "demeure toujours posé", a déclaré, jeudi à Rabat, le ministre chargé des Relations avec le Parlement et la société civile, Porte-parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi.
Le Maroc est "en position de force" pour libéraliser son taux de change et ouvrir son compte capital. C'est ce qu'a affirmé, lundi, à Marrakech, le doyen de la faculté d’économie et de gestion de l’université de Bâle en Su