Il y a tout juste une année, NTT Data Morocco signait un Mémorandum d’entente avec le ministre de l’Industrie et du Commerce, dans lequel elle s’engage à créer plus de 1.000 emplois à horizon 2027.
Afin de tenir cet engagement, la filiale du géant japonais qui compte déjà plus de 500 talents informaticiens dans tout le Royaume, se prépare à se lancer dans un tout nouveau secteur d’activité : le BPO (Business Process Outsourcing) ou l’externalisation des fonctions métiers.
«Nous avons toujours pris notre rôle de premier employeur du secteur informatique dans la région Nord du Royaume très au sérieux. En élargissant nos activités avec le lancement du BPO, nous souhaitons poursuivre notre expansion dans la région de Cabo Negro, renforcer notre présence sur le marché marocain et contribuer à la création d'emplois pour soutenir le développement économique de la région et du pays. Avec cette nouvelle activité, l’objectif engagé avec le ministère serait largement dépassé », explique Fred Sabbah, CEO de NTT DATA.
1.000 profils non-informaticiens résidant dans le nord sont visés. Les candidats recherchés incluent des profils administratifs, économie, gestion, scientifiques ou littéraires. Ces profils seront amenés à effectuer des tâches administratives, de back-office et de gestion de la relation client dans le cadre des métiers du Business Process Outsourcing (BPO) dans différents secteurs d’activité. Les candidats doivent avoir une bonne maîtrise de langues étrangères telles que le français, l'anglais ou l'espagnol pour travailler avec des clients internationaux basés en Europe.
«Le marché du BPO au Maroc offre un fort potentiel de croissance, notamment en raison de la recherche d'optimisation des coûts en Europe. Le Maroc bénéficie d’avantages certains pour en faire une destination privilégiée pour l'externalisation des fonctions métiers : une position géographique avantageuse et des compétences professionnelles et motivées. C’est une alternative sérieuse qui s’offre aux sociétés qui, dans de nombreux cas, délocalisent ce type d’activités en Asie ou en Amérique latine», conclut Fred Sabbah.