Le parti de l’Istiqlal a décidé de ne pas présenter de candidat à la présidence de la Chambre des conseillers.
Dans un communiqué, le comité exécutif du Parti indique que "la concurrence électorale saine autour de la présidence de la Chambre des conseillers ne concorde pas avec des pratiques et alliances qui vont à l’encontre de l’édification et de la consécration d’une démocratie basée sur un véritable pluralisme et optant pour des choix clairs et des programmes convaincants, à même de donner lieu à des positionnements clairs et logiques du point de vue majorité et opposition".
Pour le parti de la Balance, la concurrence saine constitue "un élément vital établissant la crédibilité de ce droit constitutionnel aux yeux des citoyens et permettant de retrouver la confiance nécessaire en les institutions élues en général et d’endiguer le phénomène de l’absentéisme électoral, notamment parmi les jeunes".
La Chambre des conseillers tiendra, lundi, une séance plénière consacrée à l’élection de son nouveau président.