Depuis que le PJD est aux affaires au Maroc, la TIC sur la bière a pratiquement doublé, passant de 550 DH par hectolitre à 900 DH.
Qui ose s’indigner ouvertement d’une hausse des prix des boissons alcoolisées dans un pays où leur vente est officiellement interdite aux Musulmans et où les citoyens ne sont pas censés en consommer ? Pourtant, dans l’hémicycle, l’alcool s’est invité récemment dans les débats… et de façon assez risible, il faut le dire. Car, si certains députés estiment que c’est un produit «haram» (contraire aux préceptes de l’Islam) qu’il faut logiquement surtaxer, d’autres pensent plutôt que… c’est un produit de première nécessité pour bon nombre de Marocains (sic !) (lire).