Ce réseau opérait à partir d’un appartement supposé abriter un centre d'appels, au quartier Maarif. Dans ce local, composé de sept chambres équipées chacune d'un ordinateur avec webcam, téléphone fixe, climatiseur et canapé, mais aussi de posters de villes européennes, les enquêteurs ont arrêté six "vendeuses de charmes" légèrement vêtues et dans des positions obscènes. La gérante du pseudo centre d'appels a été également interpellée par les policiers qui ont procédé, lors de la perquisition, à la saisie de toute la logistique utilisée dans cette activité. Les équipements informatiques confisqués ont été transférés au laboratoire de la police scientifique pour les besoins de l'enquête. Les sept mises en cause ont été déférées, en début de semaine, à la Justice.