Le chef des rebelles syriens a déclaré mercredi que les personnes impliquées dans la torture des détenus ne seraient pas graciées, après la libération de milliers de prisonniers des geôles tristement célèbres du clan Assad.
"Nous n'amnistierons pas les personnes impliquées dans la torture et l'élimination des détenus et nous les poursuivrons dans notre pays", a déclaré Abou Mouhammad al-Jolani, qui se fait appeler désormais par son vrai nom, Ahmad al-Chareh, demandant aux autres pays de leur remettre "tous les criminels ayant fui afin qu'ils soient traduits en justice", rapporte l’AFP.