Le Groupe Crédit Agricole du Maroc se voit une nouvelle fois désigné «Meilleure institution de financement du développement» en 2018 pour le continent africain par l’Association des institutions africaines de financement du développement (AIAFD).
«Cette distinction, obtenue pour la 3ème fois consécutive et qui place le GCAM en tête des institutions de financement et de développement africaine, consacre le business model du Groupe Crédit Agricole du Maroc et sa capacité à accompagner, par des dispositifs innovants et adaptés, l’ensemble des composantes du monde agricole et rural et notamment les plus vulnérables», indique le Groupe.
En effet, en une décennie, le Groupe Crédit Agricole est passé d’établissement financier spécialisé à un groupe bancaire solidement ancré dans le paysage financier marocain, avec la caractéristique spécifique d’avoir développé des outils d’accompagnement et des véhicules de financement dédiés à tous les segments d’activité et répondant, en particulier, aux besoins spécifiques de la petite agriculture et du monde rural, ajoute-t-on.
Le succès du business model du Groupe Crédit Agricole est également le fruit d’une vision partagée et d’une mobilisation collective dans le cadre du plan Maroc Vert et de ses différentes composantes.
Le Crédit Agricole du Maroc a ainsi accompagné les différents axes du PMV en déployant des produits spécifiques et adaptés pour chacune des filières identifiées au titre du premier pilier prônant le développement d’une agriculture moderne à haute valeur ajoutée et à haute productivité.
Le GCAM a également innové en mettant en place des structures dédiées pour répondre aux objectifs du second pilier du PMV en ce qui concerne l’accompagnement solidaire de la petite agriculture, ajoute la même source.
Rappelons que l’AIAFD est une organisation internationale créée sous les auspices de la Banque africaine de développement (BAD) en 1975, et regroupant les banques et établissements financiers concourant au financement du développement en faveur des secteurs publics et privés en Afrique.■