Le Code de la presse, qui contient plusieurs points "positifs", va continuer à faire partie du cahier revendicatif de la Fédération marocaine des éditeurs de journaux (FMEJ), notamment en ce qui concerne la dépénalisation des délits de presse, l’économie de l’entreprise de presse et les garanties d’un procès équitable.C'est ce qu'indique, jeudi, la FMEJ dans un communiqué, considérant, lors de sa réunion ordinaire, que "la version actuelle du Code de la presse comporte le minimum de dégâts".
Le Bureau exécutif de la FMEJ, qui est disposé à "participer de manière sérieuse aux démarches visant la mise en place d’un Conseil national de la presse, démocratique et indépendant", précise néanmoins que la Fédération va demander que ses observations, dans ce cadre, soient prises en compte dans la prochaine législature.■