"La persistance des incertitudes géopolitiques et le ralentissement prévu de la croissance économique de l’Union européenne devraient limiter l’expansion des exportations nationales. Parallèlement, la vigueur de la demande intérieure devrait
La dynamique des finances publiques devrait bénéficier du redressement attendu de l’activité économique suite à l’amélioration du secteur agricole et à la vigueur de la demande intérieure, ainsi que des mesures engagées dans
Ce déficit tient compte d’un solde positif de 4 MMDH dégagé par les comptes spéciaux du Trésor (CST) et les services de l’État gérés de manière autonome (SEGMA), précise la TGR dans son Bulletin mensuel de statistiques
Finances News Hebdo: Le déficit commercial du Maroc a atteint 133 milliards de dirhams à fin mai 2025, en hausse de plus de 15% sur un an. Que révèlent ces chiffres et quels en sont les facteurs structurels ou conjoncturels ? Mohamed Benchekroun : À fin mai 202
Ce déficit tient compte d’un solde positif de 16,2 MMDH dégagé par les comptes spéciaux du Trésor (CST) et les services de l’État gérés de manière autonome (SEGMA), précise la TGR dans son récent Bulletin men
Cette évolution couvre une hausse des importations de biens (+6,9% à 187,7 MMDH) et des exportations (+1,5% à 116,07 MMDH), précise l'Office dans son bulletin sur les indicateurs mensuels des échanges extérieurs de mars 2025, ajoutant que le taux de couv
Ce déficit tient compte d’un solde positif de 14,2 MMDH dégagé par les comptes spéciaux du Trésor (CST) et les services de l’État gérés de manière autonome (SEGMA), précise la TGR dans son récent Bulle
Depuis six années consécutives, le Maroc fait face à une sécheresse d’une rare intensité, un phénomène aggravé par le dérèglement climatique. Les nappes phréatiques s’amenuisent, les barrages affichent des taux
Le 24 septembre dernier, le gouvernement démissionnaire d'Alexander De Croo avait demandé que l'échéance pour rendre un projet de plan budgétaire à la Commission européenne soit repoussée à la fin de l'année
Cette évolution reflète une progression des recettes (+41,6 MMDH) plus importante que celle des dépenses globales (+40,8 MMDH), explique le ministère dans son récent document sur la SCRT. Les recettes ont enregistré, sur une base nette des remboursements,