Sa carrière prolifique a marqué la presse écrite, mais aussi à tavers sa collaboration avec la Radio MFM. Que Dieu ait son âme en sa sainte miséricorde. Nos pensées vont à sa famille, ses proches, et à tous ceux qui ont eu la
Le défunt a occupé plusieurs postes de responsabilité à la radio et la télévision marocaine au milieu des années 1970, puis à la Société nationale de radiodiffusion et de télévision (SNRT), avant de rejoindre la radi
Le défunt a fait la totalité de sa carrière, qu’il a démarrée au début des années 80, dans cette station. Il était connu pour ses chroniques judiciaires ainsi que ses émissions policières qui ont génér&eacu
Diplômée de philosophie et des sciences sociales, les débuts de Loukili furent sur les ondes de la radio de Médi 1 en 1982, avant de rejoindre la chaine de télévision nationale en 1986, rue El Brihi. La native de Meknès fera partie de cette a
Homme de principe et d’engagement, Dalil, qui prône la critique constructive sans langue de bois, n’avait pas froid aux yeux pour mettre à plat les sujets chauds du moment en interpellant la conscience plutôt que les personnes. Auteur du roman à su
Lors d'une interview télévisée, le journaliste français a lié la propagation des «punaises de lit» à la propreté des réfugiés irréguliers en France, ce qui a suscité de nombreuses critiques sur les ré
Dans ce message, le Souverain affirme avoir appris avec "une vive émotion la nouvelle du décès de l'éminent journaliste, feu Salim Benamar, que Dieu l’accueille dans Son vaste paradis". En cette épreuve douloureuse, le Roi exprime aux proche
Une grande figure des médias marocains vient de nous quitter. Omar Salim, visage connu et aimé de la télévision marocaine et de la radio, ami des artistes et grand amoureux des arts et de la culture, passé maître dans le jeu de mots fin et le calembour su
Incarcéré depuis le 29 décembre dernier, le directeur des sites "Maghreb Emergent" et "Radio M" avait écopé en première instance, de 5 ans de prison, dont trois ans ferme et 700.000 dinars d'amende (1 euro = 147,76 DA). Le tr
Il ne fait pas bon d’être journaliste en Algérie en ce moment. Le régime en place a pris la ferme décision de museler la presse. Celle qui est dissonante. Celle qui réclame notamment des réformes politiques et une meilleure prise en compte des droits de