Les attaques iraniennes contre Israël ont déclenché une réaction immédiate des pays voisins dans une région déjà tendue.
La Jordanie, l'Irak et le Liban ont décidé de fermer temporairement leur espace aérien par mesure de précaution, dans le but de protéger la sécurité des vols civils face aux risques potentiels. Cette décision a été prise après une évaluation minutieuse des menaces, en conformité avec les normes internationales de sécurité aérienne.
Toutefois, cette fermeture n'a pas duré longtemps. Dans un geste de retour à la normale, les autorités jordaniennes, irakiennes et libanaises ont rapidement annoncé la réouverture de leurs espaces aériens respectifs. Cela a permis aux compagnies aériennes de reprendre leurs opérations normales, avec des décollages, atterrissages et transits autorisés sans restriction.
Pendant ce temps, Israël a fait état de sa capacité à intercepter la grande majorité des drones et missiles iraniens lancés vers son territoire. L'attaque iranienne, en représailles à un raid israélien contre un consulat iranien en Syrie, a néanmoins mis en évidence la fragilité persistante de la situation au Moyen-Orient et la nécessité de mesures de sécurité strictes pour protéger la stabilité régionale et la vie des civils.
