Voici la liste des pays africains qui vont réaliser selon la BAD les plus fortes croissances en 2022 et 2023: En 2022: - Rwanda : 6,9% - Niger : 6,5% - Maurice : 6,2% - République démocratique du Congo : 6,2% - Bénin : 6,1% - Côte d'Ivoire :
En 2022, l'inflation devrait dépasser 4%, reflétant la hausse des prix des importations, ce qui affecte également la facture énergétique et le déficit du compte courant, précise ledit rapport. Conformément au Nouveau Modèle
Les prévisions à mi-parcours révèlent comment le conflit a bouleversé la fragile reprise économique après la pandémie de Covid-19, provoquant une crise humanitaire en Europe, une flambée des prix des denrées alimentaires
Rappelons tout d’abord un élément important : l’ambition du Maroc est de franchir un nouveau palier de croissance, conformément aux objectifs fixés dans le cadre du nouveau modèle de développement. Concrètement, il s’agit d&rsqu
Dans un rapport présentant ses prévisions économiques, la BERD relève qu'en 2022, l'économie du Royaume est confrontée à des conditions météorologiques défavorables, affectant la production agricole, en plus de l'impac
"Le Produit Intérieur Brut devrait évoluer de 1,8% pour atteindre le niveau de 1.335 milliards de dirhams aux prix courants correspondant à 4.050 dollars environ par tête", a indiqué le CMC dans sa récente note "INFO CMC". Néanmo
"La guerre en Ukraine a un impact considérable sur la région par le biais d'une multitude de canaux mondiaux et directs, avec un impact différencié selon les groupes de pays", souligne le FMI qui fait état d'une reprise "inégale".
Dans son rapport semestriel sur les "Perspectives de l'économie mondiale", publié mardi, le FMI anticipe une croissance de 4,6% pour le Maroc en 2023. L’institution de Bretton Woods prévoit, par ailleurs, une baisse du chômage de 11,9% en 2021
L'économie marocaine devrait enregistrer un taux de croissance entre 1,5% et 1,7% en 2022, au lieu d'une progression de 3,2%, comme prévu au niveau de la Loi des Finances, a indiqué, lundi, le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch. "Selon les données actue
Dans le détail, la production agricole devrait diminuer de 17,3 % en raison de la sécheresse. L'économie devrait être tirée par une performance industrielle toujours solide mais modérée et une reprise plus rapide du tourisme. Les r&e