Emprisonné depuis plus de sept mois, l’auteur avait été condamné le 27 mars par le tribunal de Dar El Beïda pour des déclarations faites en octobre 2024 au média français d’extrême droite Frontières, dans lesquelles il af
Cette sentence, rendue en présence de l’accusé, s'accompagne d'une amende de 500.000 dinars algériens (environ 3.500 euros). Elle intervient dans un contexte déjà chargé de tensions entre Alger et Paris, et risque de creuser davantage
Le tribunal correctionnel de Dar El Beida rendra le 27 mars son jugement dans le procès de ce romancier connu pour ses critiques du pouvoir algérien et des islamistes, emprisonné depuis le 16 novembre, jour de son arrivée à l'aéroport d'Alg
Dans le jargon répressif du pouvoir algérien, cela signifie qu’il a eu le tort de critiquer un système qui cultive l’immobilisme tout en réprimant les esprits libres. Mais que nous raconte cette histoire, si ce n’est la peur viscérale qu’ins