En plus de la peine privative de liberté, le tribunal a infligé à Boudrika une amende de plus de 500.000 dirhams et a ordonné l’interdiction d’émettre des chèques pendant une période d’un an. L’ancien élu et dirigeant sp
Emprisonné depuis plus de sept mois, l’auteur avait été condamné le 27 mars par le tribunal de Dar El Beïda pour des déclarations faites en octobre 2024 au média français d’extrême droite Frontières, dans lesquelles il af
Cette sentence, rendue en présence de l’accusé, s'accompagne d'une amende de 500.000 dinars algériens (environ 3.500 euros). Elle intervient dans un contexte déjà chargé de tensions entre Alger et Paris, et risque de creuser davantage
Le tribunal correctionnel de Dar El Beida rendra le 27 mars son jugement dans le procès de ce romancier connu pour ses critiques du pouvoir algérien et des islamistes, emprisonné depuis le 16 novembre, jour de son arrivée à l'aéroport d'Alg
Il a été reconnu coupable d’émission de chèques sans provision et d’escroquerie à l’encontre d’un citoyen israélien. Cette condamnation intervient alors que Harroch fait toujours l’objet d’une enquête ap
Cette maladie infectieuse est probablement l’une des pathologies les plus contagieuses au monde, un constat corroboré par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ainsi, une personne non immunisée, exposée au virus, a plus de 80% de chances d&rs
La majorité des cas (23) ont été enregistrés à la prison locale de Tanger II, où deux employés figurent également parmi les personnes touchées. D’autres prisons sont également concernées : 7 cas à la p
Réagissant à ce qui a été diffusé par certains sites électroniques concernant "la propagation de la rougeole parmi les détenus de la prison locale de Tanger 2", la Délégation générale de l'Administra
A. Boudrika, promoteur immobilier, et un notaire ont écopé chacun de six ans de prison ferme pour falsification de documents relatifs à une propriété foncière dénommée «Blad Hadda», située à Tit Mellil. Deux autres acc
Ce verdict intervient après des mois de procédures judiciaires marquées par des tensions, où Ouahbi réclamait 10 millions de dirhams. L’affaire avait débuté par une plainte pour diffamation et diffusion de fausses informations, visant les