Les travaux du Forum d'affaires Maroc-France se sont ouverts, jeudi à Dakhla, avec la participation de plus de 400 opérateurs économiques marocains, français et africains.
Cet événement d'envergure, organisé par le Conseil de la région de Dakhla-Oued Eddahab, en partenariat avec la Chambre française de commerce et d'industrie du Maroc (CFCIM) et plusieurs acteurs économiques, vise à créer un espace de rencontre efficace, dynamique et riche en contenu, avec une approche gagnant-gagnant entre les opérateurs économiques marocains et français.
Il s’agit aussi de valoriser le potentiel de la région de Dakhla Oued-Eddahab comme point d'entrée et hub vers l’Afrique et présenter les opportunités d’investissements qu'elle recèle aux investisseurs afin de les aider à optimiser leur développement dans la région.
Ce rendez-vous de deux jours a également pour objectifs de promouvoir la région de Dakhla Oued-Eddahab auprès des opérateurs économiques français et marocains et de les accompagner en matière d’investissements, de partenariats et d’échanges commerciaux.
Ce forum d'affaires verra la présentation du Plan de développement régional de Dakhla Oued-Eddahab ainsi que la signature de conventions de partenariat entre la région et des institutions de premier rang.
Cet événement, qui connaît la participation de 188 investisseurs, 145 sociétés marocaines et 140 entreprises françaises, sera particulièrement riche en panels sectoriels (la pêche et produits de la mer, la transformation halieutique, le tourisme, le transport et logistique, la santé et le commerce) et des rencontres B to B.
La cérémonie d’ouverture de ce forum s’est déroulée en présence notamment du wali de la région de Dakhla-Oued Eddahab, gouverneur de la province d'Oued Eddahab, Lamine Benomar, du président du Conseil de la région, El Khattat Yanja et du président de la CFCIM, Philippe Edern Klein, ainsi que de parlementaires, maires et présidents de régions en France, outre des représentants des autorités locales, des services extérieurs et des acteurs de la société civile et du secteur privé.■