Le bureau exécutif de l'Association nationale des médias et des éditeurs (ANME) dit avoir été surpris et accueille avec beaucoup d'étonnement et de désapprobation, la provocation du Président de la République tunisienne quant à la cause nationale sans le moindre respect des coutumes, traditions, mœurs, règles de respect du bon voisinage ou encore l'histoire et le destin commun entre les deux pays.
Et ce, après avoir reçu, lors d'une cérémonie officielle à l'occasion de l'accueil par la Tunisie du forum «TICAD», le chef des séparatistes.
En conséquence, indignée, l'Association considère que la décision du Président de la République, Qais Al-Saeed, ne reflète que sa propre position et non celle du peuple tunisien. Ce président accusé d'avoir volé la «révolution du jasmin» et qui compromet l'indépendance et la souveraineté du pays en les monnayant auprès de l'Algérie, pays où la population souffre des difficultés de la vie et de la perte d'opportunités de développement et de prospérité en raison de son oppression.