La situation à Gaza a atteint un tel stade de dévastation à tous les niveaux que tous les observateurs ont tiré la sonnette d'alarme sur la faim e qui s’est installée dans la région après presque cinq mois de l’invasion des territoires
Il a également fait état, dans un communiqué, de 76 morts au cours des dernières 24 heures, et d'un total 70.325 blessés depuis le 7 octobre.
Dans une allocution prononcée par le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, lors du segment de haut niveau de la 55e session du Conseil des Droits de l’Homme (C
"La justice est une condition préalable pour mettre fin aux cycles de violence et pour que les Palestiniens et les Israéliens puissent prendre des mesures significatives vers la paix", a déclaré le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Vo
Dans un communiqué, il a également fait état d'un peu plus de cent morts au cours des dernières 24 heures, et d'un total 69.616 blessés depuis le 7 octobre.
Dans l'obscurité des cœurs brisés, Gaza pleure. Elle pleure non seulement ses enfants innocents fauchés par les frappes meurtrières de l’armée israélienne, mais aussi son avenir, terni par une violence implacable et un désespoir sans f
Le PAM avait déjà suspendu il y a trois semaines l'envoi d'aide alimentaire dans le nord de Gaza ravagé par quatre mois de guerre après une frappe israélienne contre un camion d'une autre agence onusienne. Il a repris ses livraisons dimanche mais, de
Il a également fait état d'un total de 107 morts au cours des dernières 24 heures, et de 69.028 blessés depuis le début de la guerre le 7 octobre.
Sur le terrain, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu se dit déterminé à mener une offensive terrestre à Rafah où s'entassent 1,4 million de Palestiniens, en dépit des appels d'une partie de la communauté internationale. C
Une guerre d’épuration ethnique qui a déjà fait presque 30.000 morts et plus de 100.000 blessés sans compter près d’un million de Palestiniens qui ont fui la zone de guerre. En plus de quatre mois de massacre, le gouvernement de Benyamin Netany