Alors que beaucoup de gens prédisaient (et souhaitaient) la disparition de Finances News au bout de quelques mois, nous avions réussi à nous faire notre petite place dans le microcosme de la presse. Simplement parce que nos deux boss avaient du flair : ils avaient invest
J’ai commencé à travailler à Finances News un samedi précisément. La veille de ce jour particulier pour moi, j’étais confronté au stress du bouclage d’un quotidien, tout en étant agacé de ne pas avoir re&ccedi
Le Quotidien du Maroc a vu passer de grands noms du journalisme. J’ai eu à y travailler avec quelques-uns d’entre eux, comme le défunt Abdelmajid Smaili, Abdelkader El-aine, Jean-Pierre Tagornet, Mamady Sidibé, ou encore Omar Salim…, lequel y tena
C’est en lisant et en corrigeant au quotidien leurs articles que j’ai appris les premiers rudiments du journalisme. J’allais boucler mon premier mois et j’attendais vivement… mon premier salaire. Mais je me trouvais toujours confronté au mê
J’ai commencé mon premier boulot en plein mois de Ramadan. On commençait le travail à 9h00 et on terminait à 15h00, pour ensuite revenir le soir dès 19h30. Sans le sou, je devais me taper le chemin à pied. J’en avais tous les jours, du
Mon entêtement m’a donné raison. Mais que ce fut dur ! Très dur. J’avais adopté un rituel assez rigoureux : tous les jours, du lundi au vendredi, dès 8H30, j’allais au centre-ville et m’installais dans un café pour é
C’est d’ailleurs lors de l’un de ses moments d’ivresse que nous eûmes notre premier accrochage qui a failli dégénérer. Nous avions invité quelques amies marocaines à venir partager avec nous notre fameux plat national, le riz au poi
"Vous ne pouvez pas jouer ici torse nu alors que nos femmes et nos filles se promènent dans le quartier», lança-t-il avec fureur. Faute de maillots, une équipe était en effet obligée de se dévêtir. On ne savait pas que onze
C'’était le genre qui n’avait confiance en personne et qui se croyait suffisamment intelligent pour se passer de nos conseils. Sauf que quand on est «bleu» et qu’on ne maîtrise pas la monnaie locale, fatalement on se fait escroquer. Pou
Autant que je me souvienne, depuis que je suis au Maroc, 1996 est la seule année où il a fallu se passer du sacrifice du mouton. J’entamais ma seconde année dans le Royaume. Je vivais toujours à la «cité des cheminots», avec des compa